Mesures de limitation de l’usage de l’eau
(11 août 2023)

Irène Amata est une très grande chanteuse, une magnifique voix, une belle présence ; elle a interprété ses propres compositions et quelques reprises, accompagnée de ses musiciens hors-pair !
Niveau international, Nico Morelli au piano, Jean-Baptiste Perraudin à la batterie et Clovis Brossard à la contrebasse.
Une grande classe, une musique tout en nuance.
Irène Amata Jazz Quartet a procuré de la dolce vita au bord de la Dordogne.
Félicitations à l’organisation, la sonorisation et les lumières !
Grand merci aux bénévoles et au photographe !
Après le succès de son premier EP (festivals Jazz sur Seine à Paris, Aix en Provence, Sunside Sunset…), Irène Amata a réussi en peu de temps à devenir une des voix les plus appréciées de la scène jazz actuelle.
Elle est accompagnée de musiciens de haut vol ! Nico Morelli au piano, un des plus grands pianistes européens, dans la lignée de Bill Evans ! À la batterie, Jean-Baptiste Perraudin, inspiré par Max Roach, Buddy Rich : phénoménal ! À la contrebasse, le jeune Clovis Brossard, excellent dans son phrasé !
Irène Amata nous présente en avant-première le répertoire original de son prochain album.
Inaugurée le 24 juin en présence de M. Jean-Charles Jobard, sous-préfet de Bergerac, l’exposition consacrée à l’histoire des Islandais et Terre-Neuvas, reste ouverte dans la galerie Marc Amanieux jusqu’au samedi 15 juillet aux horaires d’ouverture du musée. Elle sera ensuite remontée en partie à l’intérieur du musée jusqu’au salon du livre du 3 septembre et des journées du patrimoine.
Cette exposition où trône une magnifique maquette d’un « terre-neuvier à voiles » et d’une reproduction d’un « doris », retrace l’épopée de ces pêcheurs des mers glacées. Durant des siècles, des dizaines de ports des régions côtières françaises, de Dunkerque à Bayonne, en passant par la Normandie la Bretagne, La Rochelle et Bordeaux, ont vécu de l’industrie générée par la pêche à la morue. Pour nourrir les populations, ces pêcheurs ont puisé sans compter dans les bancs des côtes canadiennes : un stock estimé à plusieurs millions de tonnes, constituant l’un des plus grands garde-manger de l’humanité ! La pêche intensive avec des moyens modernes conduisit à une quasi-disparition de la ressource en morue et à une interdiction de pêche par les autorités canadiennes. À Fécamp, premier port morutier français d’après-guerre, la pêche dans les eaux de Terre-Neuve a pris fin en 1987.
Un emplacement est dédié au souvenir de deux anciens marins-pêcheurs de Port-Sainte-Foy, Jean-Claude Cluzeau et Gérard Chabot qui s’embarquèrent à Fécamp sur un navire du capitaine Emile Friboulet. Ce dernier possédait une résidence de vacances à Port-Sainte-Foy au village des Bardoulets et avait ainsi recruté localement des candidats à la « Grande pêche » (fin des années 1950).




Période estivale 26 juin au 15 septembre
Du mardi au samedi de 14 h à 17 h 30
Toute l’année, accueil des groupes et visites guidées sur rendez-vous
05.53.22.24.10
Tarifs :
Adultes : 3€ – Enfants (+ de 12 ans) : 2€
Groupes (à partir de 10) : 2€ sur R.D.V
54 rue Onésime Reclus
33220 Port Sainte Foy et Ponchapt